Depuis notre référentiel le plus ancien, bien avant que l’homme moderne ne commence à graver dans la matière une exquise d’un langage primitif.

La symbolique fessait acte de référence.

L’observation des éléments de la vie, était la source de son inspiration.

Ainsi, le cercle et la croix nourrissaient les esprits des anciens.

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  • Le cercle n’ayant ni commencement, ni fin : pourrez représenter le Tout, l’éternité, le mystère divin, souvent représenter par l’Ouroboros (serpent qui se mord la queue). Au même titre que le symbole Shen, schématisé par une boucle de corde sans ni début ni fin, pouvez être représentatif du symbole de l’éternité ou de la protection.
  • La croix pourrez représenter le point de rencontre entre deux éléments, ou dimensions matérialisant la dualité, comme le monde dans haut avec le monde dans bas.
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​La croix, symbolise la séparation, la dualité. Elle est à mettre en parallèle avec la croix chrétienne, support de la mort et de la résurrection du Christ. Qui se déclinera à son tour en croix des templiers (emblème des croisades), etc…

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(L’antonyme littéral du « symbolique » est le « diabolique », ce qui divise (du grec διαβάλλειν / diaballein, de dia- à travers, et -ballein, jeter, c’est-à-dire « diviser, disperser », par extension « rendre confus »). Le diabolique est, au sens propre, pour les Grecs, le bâton qui semble rompu lorsqu’il est plongé dans l’eau ; au sens figuré, c’est l’apparence trompeuse. Ce qui est trompeur, fait croire à la cassure et relève de l’illusion des sens, est de l’ordre du diabolique ; ce qui rapproche, reconstitue l’unité ou la totalité originelle en dévoilant du sens est de l’ordre du symbolique. La notion chrétienne du Diable tentateur est issue de la confusion de cette signification avec celles de l’Ange révolté déchu (Lucifer), Cheytan/ Satan/ Malin ou (Seth) pour les Égyptiens.)

Ainsi de l’observation de la rencontre de ces deux forces opposées naitra une troisième force, l’onde. La vibration, l’énergie.

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On ne peut parler de symbolisme, sans exprimer la polarité de toute chose.

On pourra définir une polarité Positive, une énergie qui vient de l’intérieur vers l’extérieur, et une énergie qui vient de l’extérieur vers l’intérieur : Une polarité Négative.

De cette réflexion, découleront d’innombrables symboles tout le long de l’histoire.

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A noter, qu’il n’y a pas de sens positif ou négatif sur ces symboles, tout dépend du point d’observation.

Toutefois, la croix de vie (l’Ankh) sera un des symboles le plus représentatif de cette observation.

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Le cercle symbolise le tout, la perfection, la plénitude et le projet divin.  

Le trait horizontal représente, quant à lui, le monde matériel.       

Le trait vertical est le produit de la force divine qui anime la matière.

De nombreuse explication sur ce symbole feront couler énormément d’encre dans l’imagination débordante de l’être humain. Ainsi quelques explications les plus rationnels vont être répertoriés, ci-dessous :​

  • La croix d’Ankh peut évoquer la vie après la mort : symbole de la vie éternelle.
  • Le ciel (le cercle, le domaine de l’esprit) et la terre (la croix, l’angle droit, le domaine de la matière),
  • Le masculin et le féminin,
  • Le haut et le bas,
  • Le chaud et le froid,
  • L’actif et le passif,
  • L’abstrait et le concret,
  • Le spirituel et le géométrique.
  • L’Ankh peut évoquer la conciliation des contraires, le point de rencontre, le centre, l’équilibre énergétique, et à travers cela, l’harmonie du monde.
  • La croix de vie, peut aussi Symboliser la force vitale.

Néanmoins, la clef de voute de cette ensemble équilibré, forme un symbole de trinité.

Un lien avec le divin. La triangulation – le triangle étant la forme géométrique élémentaire représentative de la notion du volume en deux dimensions.

La clef est la sphère, la spirale, qui représente la porte du mystère, le point d’entrée dans la vie éternelle (un monde aux dimensions multiple).

La clé d’une certaine représentation de l’observation sera codée par la géométrique sacrée (représentation mathématique d’une pensée multidimensionnelle). Ainsi, pour passer d’un monde à l’autre, il faudra donc “spiritualiser” la matière. Décoder l’information cachée en toute forme de la géométrique sacrée.

       Ce qui n’est pas sans rappeler un autre symbole : taoïste (yin et yang).

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Sur le plan de l’individu, il représente l’union du masculin et du féminin évocateur de l’être nouveau, l’Androgyne.

L’équilibre, le mouvement, la singularité.

On ne peut parler de symbolique, sans évoquer la spirale. Comme dit précédemment, elle est la résultante de la confrontation de deux forces opposées, qui engendre le mouvement.

En son centre nait un vortex, une singularité, un trou noir. Cette spirale en deux dimensions, sera matérialisée dans la matière par un vortex en trois dimensions, engendrant une spire.

Cette énergie ainsi créée, aura la particularité de changer constamment de polarité, entre ces pôles opposés et le centre.

De ce fait participé à la magie de la vie en perpétuelle évolution, créant à son tour un Tore.

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A ce stade de compréhension du symbolisme on pourrait admettre cas chaque niveau de connaissance correspond une forme géométrique sacrée.

Je vous laisse le plaisir de décrypter, l’information cacher dans ce symbole sacré, qu’est le Sri Yantra.